

Подсвечник «Вспышки»
Этот подсвечник поможет создать мягкое освещение, идеальное для размышлений и творчества.
Простота его отделки – результат предельно точной работы Адрианы. После создания заготовки на станке, она сушится в течение трех дней до достижения идеальной текстуры: ни слишком влажной, ни слишком сухой. Затем Адриана приступает к следующему этапу, в ходе которого она добивается идеальной формы своего изделия. Вручную она пробивает в нем отверстия, этот этап требует скорости и точности движений, иначе можно повредить тонкий фарфор. Далее изделие проходит обжиг в печи при 1280°.
Благодаря своим отверстиям, подсвечник дает возможность свету просочиться через фарфор и создать настоящий театр теней.
Подсвечник можно мыть в посудомоечной машине и помещать в микроволновую печь.
Все изделия, не находящиеся в наличии, могут быть изготовлены за короткое время (4 и 5 недель).
- Размеры : Высота: 28 см, диаметр: 14 см, ширина отверстия: 6 см
- Quantité : 1
Adriana Navarro
Adriana Navarro
Adriana Carvalho Navarro est une artisane d’origine brésilienne dont le parcours est rythmé par le voyage. Arrivée dès 1992 au Portugal rien ne la destinait céramiste. C’est en s'installant à Singapour qu'Adriana découvrit, au détour d'une rue, la céramique. Devant une boutique, elle aperçoit des artisans attelés à leur tour et les observe avec fascination certaine d'être aux prémisses d'une vocation.
Singapour, le premier contact avec la poterie.
Forçant les portes de l'atelier, elle est prise en apprentissage dès 2005 où elle est formée avec méthode, d'abord par la technique du colombin modelé sur tour manuel ce qui lui donne les bases pour maîtriser, par la suite, la technique du tournage sur tour électrique. Adriana surprend par sa rapidité d'apprentissage, son habilité manuelle et son avidité à tout essayer. Elle se dote de son premier tour électrique avant de s'envoler pour Istanbul.
Istanbul, la découverte de la porcelaine.
Peu lui en faut avant de retrouver l'artiste céramiste Mehmet Kutlu qui décide de lui apporter ses connaissances. Elle se plonge dans l'art oriental. La ville l’inspire tout comme les gens qu'elle rencontre. Elle apprend la céramique murale, la technique de la plaque tout en continuant à tourner. Alors que le grès se fait rare, elle rencontre la porcelaine de Limoges très difficile à maîtriser. Encore une fois Adriana suscite l'admiration par ses rapides progrès alors qu'elle façonne la porcelaine au tour.
Retour en France, une maturation professionnelle.
Contrairement au grès qu'elle trouve plus rustique, Adriana s'épanouit avec la porcelaine, une matière beaucoup plus noble, plus adaptée à son caractère. Dotée d'une grande patience, elle aime le travail de précision. En 2015, elle transforme une réelle passion en projet professionnel en s'inscrivant à la Chambre des métiers. Après des années de pratiques et d'inspirations multiples, elle s'est finalement sentie en confiance pour proposer ses produits avec son propre style. Elle aime créer des pièces texturées, épurées, simples et élégantes.
Adriana Carvalho Navarro est une artisane d’origine brésilienne dont le parcours est rythmé par le voyage. Arrivée dès 1992 au Portugal rien ne la destinait céramiste. C’est en s'installant à Singapour qu'Adriana découvrit, au détour d'une rue, la céramique. Devant une boutique, elle aperçoit des artisans attelés à leur tour et les observe avec fascination certaine d'être aux prémisses d'une vocation.
Singapour, le premier contact avec la poterie...
Adriana Carvalho Navarro est une artisane d’origine brésilienne dont le parcours est rythmé par le voyage. Arrivée dès 1992 au Portugal rien ne la destinait céramiste. C’est en s'installant à Singapour qu'Adriana découvrit, au détour d'une rue, la céramique. Devant une boutique, elle aperçoit des artisans attelés à leur tour et les observe avec fascination certaine d'être aux prémisses d'une vocation.
Singapour, le premier contact avec la poterie.
Forçant les portes de l'atelier, elle est prise en apprentissage dès 2005 où elle est formée avec méthode, d'abord par la technique du colombin modelé sur tour manuel ce qui lui donne les bases pour maîtriser, par la suite, la technique du tournage sur tour électrique. Adriana surprend par sa rapidité d'apprentissage, son habilité manuelle et son avidité à tout essayer. Elle se dote de son premier tour électrique avant de s'envoler pour Istanbul.
Istanbul, la découverte de la porcelaine.
Peu lui en faut avant de retrouver l'artiste céramiste Mehmet Kutlu qui décide de lui apporter ses connaissances. Elle se plonge dans l'art oriental. La ville l’inspire tout comme les gens qu'elle rencontre. Elle apprend la céramique murale, la technique de la plaque tout en continuant à tourner. Alors que le grès se fait rare, elle rencontre la porcelaine de Limoges très difficile à maîtriser. Encore une fois Adriana suscite l'admiration par ses rapides progrès alors qu'elle façonne la porcelaine au tour.
Retour en France, une maturation professionnelle.
Contrairement au grès qu'elle trouve plus rustique, Adriana s'épanouit avec la porcelaine, une matière beaucoup plus noble, plus adaptée à son caractère. Dotée d'une grande patience, elle aime le travail de précision. En 2015, elle transforme une réelle passion en projet professionnel en s'inscrivant à la Chambre des métiers. Après des années de pratiques et d'inspirations multiples, elle s'est finalement sentie en confiance pour proposer ses produits avec son propre style. Elle aime créer des pièces texturées, épurées, simples et élégantes.
Adriana Carvalho Navarro est une artisane d’origine brésilienne dont le parcours est rythmé par le voyage. Arrivée dès 1992 au Portugal rien ne la destinait céramiste. C’est en s'installant à Singapour qu'Adriana découvrit, au détour d'une rue, la céramique. Devant une boutique, elle aperçoit des artisans attelés à leur tour et les observe avec fascination certaine d'être aux prémisses d'une vocation.
Singapour, le premier contact avec la poterie...
Adriana Carvalho Navarro est une artisane d’origine brésilienne dont le parcours est rythmé par le voyage. Arrivée dès 1992 au Portugal rien ne la destinait céramiste. C’est en s'installant à Singapour qu'Adriana découvrit, au détour d'une rue, la céramique. Devant une boutique, elle aperçoit des artisans attelés à leur tour et les observe avec fascination certaine d'être aux prémisses d'une vocation.
Singapour, le premier contact avec la poterie.
Forçant les portes de l'atelier, elle est prise en apprentissage dès 2005 où elle est formée avec méthode, d'abord par la technique du colombin modelé sur tour manuel ce qui lui donne les bases pour maîtriser, par la suite, la technique du tournage sur tour électrique. Adriana surprend par sa rapidité d'apprentissage, son habilité manuelle et son avidité à tout essayer. Elle se dote de son premier tour électrique avant de s'envoler pour Istanbul.
Istanbul, la découverte de la porcelaine.
Peu lui en faut avant de retrouver l'artiste céramiste Mehmet Kutlu qui décide de lui apporter ses connaissances. Elle se plonge dans l'art oriental. La ville l’inspire tout comme les gens qu'elle rencontre. Elle apprend la céramique murale, la technique de la plaque tout en continuant à tourner. Alors que le grès se fait rare, elle rencontre la porcelaine de Limoges très difficile à maîtriser. Encore une fois Adriana suscite l'admiration par ses rapides progrès alors qu'elle façonne la porcelaine au tour.
Retour en France, une maturation professionnelle.
Contrairement au grès qu'elle trouve plus rustique, Adriana s'épanouit avec la porcelaine, une matière beaucoup plus noble, plus adaptée à son caractère. Dotée d'une grande patience, elle aime le travail de précision. En 2015, elle transforme une réelle passion en projet professionnel en s'inscrivant à la Chambre des métiers. Après des années de pratiques et d'inspirations multiples, elle s'est finalement sentie en confiance pour proposer ses produits avec son propre style. Elle aime créer des pièces texturées, épurées, simples et élégantes.
Adriana Carvalho Navarro est une artisane d’origine brésilienne dont le parcours est rythmé par le voyage. Arrivée dès 1992 au Portugal rien ne la destinait céramiste. C’est en s'installant à Singapour qu'Adriana découvrit, au détour d'une rue, la céramique. Devant une boutique, elle aperçoit des artisans attelés à leur tour et les observe avec fascination certaine d'être aux prémisses d'une vocation.
Singapour, le premier contact avec la poterie...