Marie de la Roussière élève de Maître d’Art, se définit comme une « artiste laqueur ». Dans son atelier situé à Montreuil, la jeune femme nous fait découvrir son métier, dans lequel elle est littéralement « tombée » et pour lequel elle a eu une révélation. Grâce à un savoir-faire exceptionnel et des recettes traditionnelles, elle crée de véritables chefs d’œuvres, inspirés de son environnement : la ville.

De nombreuses étapes pour un rendu exceptionnel

Pour créer ses tableaux, Marie de la Roussière enchaîne les étapes minutieuses et doit donc faire preuve d’un sens irréprochable de l’organisation. Chaque jour, dans son atelier, elle apprête le bois à base de colle de peau de lapin et de blanc de Meudon, le vernit grâce à une laque européenne, le décore, monte des couches de pigments, travaille les dorures, effectue de minutieuses finitions… Les étapes sont multiples et doivent être réalisées dans les règles de l’art pour obtenir un résultat exceptionnel.

Une artiste laqueur

Marie de la Roussière revendique clairement son rôle d’artiste laqueur ou de peintre laqueur. En effet, en tant qu’élève de Maître d’Art, elle défend un savoir-faire unique, mais aussi un univers personnel avec un langage, une expression qui lui sont propres. Derrière ses décors et ses motifs, se cachent une réflexion particulière, ainsi qu’une certaine invitation à la rêverie…

Marie de la Roussière élève de Maître d’Art, se définit comme une « artiste laqueur ». Dans son atelier situé à Montreuil, la jeune femme nous fait découvrir son métier, dans lequel elle est littéralement « tombée » et pour lequel elle a eu une révélation. Grâce à un savoir-faire exceptionnel et des recettes traditionnelles, elle crée de véritables chefs d’œuvres, inspirés de son environnement : la ville...