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- Atelier Laurence D, artisan d'art textile à Paris


Laurence Raverdeau
Laurence Raverdeau a installé son atelier dans la dernière cour d’industrie du 11ème arrondissement de Paris. Taffetas, velours, soie, matières brodées… l’endroit regorge de tissus de haute qualité. Pourtant, elle n’est pas couturière mais «tapissière d’ameublement couture et décor», une profession à part entière, qui n’est pas le féminin de «tapissier». Pour éviter la confusion, Laurence préfère s’intituler «courtepointière».
Un artisanat d'art textile hérité du moyen âge
Alors que le tapissier s’occupe de la garniture de la tapisserie d’ameublement, la tapissière (ou courtepointière) se consacre à sa couture et à son décor. Laurence Raverdeau est l’héritière des artisans du Moyen-Âge qui confectionnaient les courtines (rideaux de lit) et les courtepointes (couvertures piquées). Elle met en œuvre des techniques traditionnelles pour réaliser des décors de fenêtre, drapés, festons, rideaux, ou décors de lits. C’est la couture d’ameublement.
Une exigence de qualité extrême
Si la courtepointière a été élue Meilleur Ouvrier de France en 2011, et reçu le label « entreprise du patrimoine vivant », ce n’est pas un hasard. Laurence Raverdeau exerce son métier avec une exigence extrême, dans les règles de l’art. Chaque jour, elle travaille sur des projets d’exception : quand elle ne confectionne pas une centaine de coussins brodés pour le salon d’un client Koweitien, elle restaure des décors historiques pour le Musée du Louvre. Laurence Raverdeau aime aussi innover. Elle a ainsi inventé et réalisé une pièce sensorielle unique en son genre, le coussin Muscadin parfumé et rechargeable, à découvrir sur ArtisanArt.
Laurence Raverdeau a installé son atelier dans la dernière cour d’industrie du 11ème arrondissement de Paris. Taffetas, velours, soie, matières brodées… l’endroit regorge de tissus de haute qualité. Pourtant, elle n’est pas couturière mais «tapissière d’ameublement couture et décor», une profession à part entière, qui n’est pas le féminin de «tapissier». Pour éviter la confusion, Laurence préfère s’intituler «courtepointière»...
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Laurence Raverdeau
Laurence Raverdeau a installé son atelier dans la dernière cour d’industrie du 11ème arrondissement de Paris. Taffetas, velours, soie, matières brodées… l’endroit regorge de tissus de haute qualité. Pourtant, elle n’est pas couturière mais «tapissière d’ameublement couture et décor», une profession à part entière, qui n’est pas le féminin de «tapissier». Pour éviter la confusion, Laurence préfère s’intituler «courtepointière».
Un artisanat d'art textile hérité du moyen âge
Alors que le tapissier s’occupe de la garniture de la tapisserie d’ameublement, la tapissière (ou courtepointière) se consacre à sa couture et à son décor. Laurence Raverdeau est l’héritière des artisans du Moyen-Âge qui confectionnaient les courtines (rideaux de lit) et les courtepointes (couvertures piquées). Elle met en œuvre des techniques traditionnelles pour réaliser des décors de fenêtre, drapés, festons, rideaux, ou décors de lits. C’est la couture d’ameublement.
Une exigence de qualité extrême
Si la courtepointière a été élue Meilleur Ouvrier de France en 2011, et reçu le label « entreprise du patrimoine vivant », ce n’est pas un hasard. Laurence Raverdeau exerce son métier avec une exigence extrême, dans les règles de l’art. Chaque jour, elle travaille sur des projets d’exception : quand elle ne confectionne pas une centaine de coussins brodés pour le salon d’un client Koweitien, elle restaure des décors historiques pour le Musée du Louvre. Laurence Raverdeau aime aussi innover. Elle a ainsi inventé et réalisé une pièce sensorielle unique en son genre, le coussin Muscadin parfumé et rechargeable, à découvrir sur ArtisanArt.
Laurence Raverdeau a installé son atelier dans la dernière cour d’industrie du 11ème arrondissement de Paris. Taffetas, velours, soie, matières brodées… l’endroit regorge de tissus de haute qualité. Pourtant, elle n’est pas couturière mais «tapissière d’ameublement couture et décor», une profession à part entière, qui n’est pas le féminin de «tapissier». Pour éviter la confusion, Laurence préfère s’intituler «courtepointière»...
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Un artisanat d'art textile hérité du moyen âge
Alors que le tapissier s’occupe de la garniture de la tapisserie d’ameublement, la tapissière (ou courtepointière) se consacre à sa couture et à son décor. Laurence Raverdeau est l’héritière des artisans du Moyen-Âge qui confectionnaient les courtines (rideaux de lit) et les courtepointes (couvertures piquées). Elle met en œuvre des techniques traditionnelles pour réaliser des décors de fenêtre, drapés, festons, rideaux, ou décors de lits. C’est la couture d’ameublement.
Une exigence de qualité extrême
Si la courtepointière a été élue Meilleur Ouvrier de France en 2011, et reçu le label « entreprise du patrimoine vivant », ce n’est pas un hasard. Laurence Raverdeau exerce son métier avec une exigence extrême, dans les règles de l’art. Chaque jour, elle travaille sur des projets d’exception : quand elle ne confectionne pas une centaine de coussins brodés pour le salon d’un client Koweitien, elle restaure des décors historiques pour le Musée du Louvre. Laurence Raverdeau aime aussi innover. Elle a ainsi inventé et réalisé une pièce sensorielle unique en son genre, le coussin Muscadin parfumé et rechargeable, à découvrir sur ArtisanArt.
Laurence Raverdeau a installé son atelier dans la dernière cour d’industrie du 11ème arrondissement de Paris. Taffetas, velours, soie, matières brodées… l’endroit regorge de tissus de haute qualité. Pourtant, elle n’est pas couturière mais «tapissière d’ameublement couture et décor», une profession à part entière, qui n’est pas le féminin de «tapissier». Pour éviter la confusion, Laurence préfère s’intituler «courtepointière»...
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